* Ne plus croire en la lumière, Telle avait été vie autrefois. Après vécu un véritable enfer quotidien, j'ai décidée je vivre moi-même en enfer, reprenant par la même occasion tout mon pouvoir sur ma destiné. Vous savez, une fleur née à l'ombre est condamnée, mais pas si celle-ci s'adepte. Comme une fleur, je me suis suis épanouie, comme une fleur, j'ai éclos ma rage. J'ai marché le long de couloirs ensanglantée après ce massacre que j'ai semée. Longtemps j'ai rêvée, longtemps je vois ces cauchemars incessant. Ce celui-ci qui semble être une nécropole. Les ossements semblent être ces graines du renouveaux ; s'ils existent. Je ne crois pas à la seconde chance. Nous devons la prendre de force. Fracasser leurs crânes comme je l'ai si souvent fait. Je ne connais pas ce type, mais celui-ci à eu une seconde chance si ce n'est d'une troisième... *

Une infirmière improvisée, n'ayant d'autre choix, elle ne pouvait pas le laisser mourir ainsi comme ça. Aider son prochain était une normalité, même si elle devait lutter pour aider son suivant. C'était ainsi qu'elle fut élevée. Ceux-ci pouvaient tôt ou tard lui rendre l'ascenseur. Le bras était tombé, inerte. Devait-elle la mettre dans la glace ? D'la merde, cela n'allait rien servir. Les secours n'existaient dans ce monde impie. Akiza était la seule en mesure de l'aider avec ce garrot improvisé. Elle pour cela, elle dut arracher l'une de ses manches de sa robe pour lui sauver la vie.

* Pourquoi l'aides-tu! Tu ne le connais même pas, connasse! Et s'il voulait te faire vivre l'enfer, comme ces gamins que tu as éclatée de façon si sanguinaire ? Si cela ne serait pas de moi, tu tomberais dans les pommes à la vue de ce sang, comme quand tu vois une foutu araignée. Tu as peur des insectes, alors qu'ironiquement tu en es une. Ce gars n'a aucune confiance à lui accorder. Il ne veut seulement faire de la musique avec ton corps *

* Tais-Toi! Tu n'as aucune leçon à me donner. Si cela est le cas, je lui montrerai comme ce joue cette musique.*

* ... Alors Soit près à accueillir les nombreux péchés *

Akiza enleva sa main de son oeil. Son reflet se dupliqua sur un morceau de verre traînant au sol. L'un de ses iris était rouge, alors que l'autre, jaune brûlé. Encore une fois, ses yeux étaient impairs. Elle commençait sérieusement à croire qu'elle était schizophrène. Chaque fois qu'elle luttait, l'un de ses yeux changeait de couleur. Pourtant, le changement de couleur des yeux n'était pas un symptôme de cette maladie. Multi-personnalité ? Aucun rapport et encore la couleur des yeux ne changeaient pas, en plus, cette maladie mental ne donnait pas plus le pouvoir du feu, autant pour la Schizophrénie. Il n'y avait plus de raison de chercher, la réponse ne devait sûrement pas exister. Akiza devait seulement bien jouer de son instrument et de bien piger ses prochaines cartes, cela allait peut-être l'amener dans une impureté. Là où la virginité était interdite, là où elle n'avait pas sa place. Si elle s'écoutait, accueillir les nombreux péchés.

La jeune femme, qui fut une infirmière improvisée un court instant, enleva sa main de la blessure du jeune homme. Son sang tachait sa main. Immonde, certes, mais la jeune apprentie venait de sauver la vie d'un être, même si celle-ci ne le connaissait pas. Ses yeux impairs se levèrent vers ceux de ce même homme. Les yeux de cet inconnue aussi semblaient si étrange. Au lieux d'être blanc, ses yeux étaient noirs. Ses iris jaunes. , comme les siennes. Akiza fixait sans relâche ce jeune homme alors que son oeil rouge redevint jaune. Elle fit un sursaut lorqu'elle découvrit qu'elle le fixait de façon obsessionnelle et assez creepy.

- Je suis désolée, j'ai fait se que j'ai pu. Je ne suis pas douée pour ce genre d'épreuves. J'ai failli tombée dans les vapes... Je ne voudrais pas avoir l'air trop indiscrète, mais que viens-tu faire ici ? Je doute que tu sois juste venu ici pour t'arracher le bras, pas vrai ? Je t'ai vue, atterrir ici à cause de cette tempête.

* Je vois le mal qui ronge sans cesse ces espoirs, sans que je ne puisse rien n'y faire. Je ne suis qu'un même si elle ne semble pas le savoir. Une si belle fleur peut sombrer si facilement, si innocente.  J'ai vécu beaucoup pour me faire à l'idée qu'une ère utopique n'est qu'une illusion drastique. *

Qui était-elle ? Sûrement sa sauveuse. Le jeune homme avait atterrit au bonne endroit, c'était le cas de le dire. Le destin faisait bien des choses assez cocasse. Il ferma les yeux en lui souriant. Comment pouvait-elle avoir peur de lui, alors que sa peur plus grande peur est elle ? Je ne pense pas qu'on puisse avoir plus peur d'autre chose que de soi-même. Cet réunion ressemble pratiquement à une invocation. Trois mots et il étaient apparut comme pas enchantement " Oh my gosh " parlant de cette maudite tempête. Akiza ne connaissait pas le mal, même après ce jour fatidique. Pour elle, ces jeunes n'étaient que des petits connards sa réel valeur importante. Suite à son sourire, la jeune apprentie en sorcellerie se leva, replaçant ensuite sa robe.

Que ce soit la musique ou encore une jeune dans la fleur de l'âge. Sa robe comme rempart de fer. La demoiselle se rendit jusqu'à cette fameuse dent. Celle-ci avait coûté le bras de cet homme. De plus, ce dernier voulait savoir pourquoi ces bandages étaient sur son bras. De quoi la faire ricaner. Pour éviter l'hémorragie, bien sûr! Quelle question! Rendu au dessus du bras du jeune homme. Ses mains planaient au dessus de celui-ci. En cas où des créatures mal intentionné pouvait sentir le sang, le bras prit feu par un feu follet. La sorcière absorba ensuite ce même feu. Elle maîtrisait de plus en plus ses nouveaux pouvoir. De plus, qu'une sorcière loin d'être stupide.

* Super, et bientôt nous aurons son instrument interdit. Je vois, je le sens. Je t'avais avertis. Le fruit du péché est devant ta porte, petite. Même j'ai dix-huit ans. Il faut faire gaffe. J'ai déjà ressenti cela!*

Le mal existe! faut juste savoir savoir où le trouver! Le mal dévore les plus faibles pour redonner leur  puissance. École massacrée, la silhouette noir d'un homme étrange. Je n'ai pas peur du croque mitaine, celui-ci n'est que mon jouet de plaisirs. Ma démoniaque sur ma tête. Même noir caressant mes seins, halètement, halètement. L'invocation du destin. Trois mots " Viens à moi " un ordre " je te réclame ". Nuit au delà de la tentation, plus aucune raison de rester humaine. Rien n'est aussi satisfaisant.

Même si cela n'avait prit qu'une seule seconde, cette transe semblait si révélatrice. Jamais elle n'avait se genre de problème, sauf quand elle était en enfer. La jeune femme revenant avec un bol d'eau. Ce monde dépourvue de cette essence, Akiza avait bien fait d'en apporté. L'eau si clair semblait méditer dans le bol fait d'ossements. La demoiselle se mit à genou cette fois, pour ensuite s'assoir près de ses chevilles. Dans peu d'instant, ses chevilles allaient devenir engourdi, par conséquent, la jeune femme devra se repositionnée. La confiance indispensable entre personne. La vengeance un plat qui se mange froid, réchauffé par la chaleur de son corps.

La jeune femme ferma encore les yeux pour sourire à ce jeune homme. Par politesse ou juste au fait qu'elle possédait un sourire irrésistible. Les deux raisons étaient bonne en fait. Ses mains contre ses cuisses vêtues de collants. Celle-ci inclina la tête en ouvrant ses yeux, impair, encore...

- Je m'appelle Akiza, je suis en quelque sorte ta secouriste, malgré que débutante. J'en suis navrée si cela te gêne, mais ce bandage était une nécessité. Peu m'importe ton égo, ne vaut pas une mort inévitable...

De plus en plus que ses paroles sortaient de sa bouche, elle s'approchait de cet homme. Penchant de plus en plus alors que tout à coup, la jeune sorcière se repositionna en sautillant. Ses Iris impairs, Rouge ; Jaune brûlé, intriguant et envoûtant. Comme si elle voulait la protéger avec une intimidation discrète. Oui je le veux! C'est ma protégée!

Le jeune homme semblait aller mieux. Sa voix chaleureuse ne démontrait aucun signe de faiblesse. Étrangement, sa peau n'était pas blanche. Il avait l'air en pleine forme malgré sa blessure mortelle. Akiza aurait tombée dans les vapes, ah oui, elle l'a déjà fait. Pendant un moment je ne voyais que du noir. Chiant à la fin, même si la noirceur à ses charmes. Quoi que...
* M-mais... Que fait-il..! Hey oh, bas les pattes, mais que fais-tu, Aki! Gifle moi ce taré!*
Le jeune homme parvint t'en bien que mal de dénouer le corset d'Akiza. Comment a-t-il fait ? Avec un seul bras! C'était quelque chose que je ne pouvais expliquer. Même moi je sentais que sa poitrine avait moins de pression. Surprise, Aki se couvrit. Au moins, elle avait comprit quoi faire. La jeune sorcière détourna les yeux, mal à l'aise. Je vis à travers ses yeux la poussière morbide. Un silence aussi vide que la mort régnait. Ce dons lui était-il destiné ? Alors que ses yeux se retournèrent vers ceux du jeune homme. Ayana était son nom. Ce nom allait-il rester incruster dans sa tête ? Rien était sûr. C'était son corps, sa musique. Je n'ai pas le pouvoir d'agir dans ces cas...

Elle était belle, mais cela n'allait pas la sauver, une petite humaine. Encore et encore ténèbres, cet homme n'était pas un humain, mais ne semblait pas non plus démoniaque. Son énergie était bien différente de celle de Joey, un démon qu'elle avait rencontré il y a quelque temps le jour où elle avait rencontrée Kaguya. Son aura dégageait rien, son aura vide laissait respirer les êtres proches de lui. Son aura laissait passer la lumière ; à comparer d'elle-même qui dégageait une intense chaleur. Encore une fois et comme d'habitude, Akiza rêvassait. Comme à son habitude, ses pensées je les voyais comme dans un film. Je voyais bien les ténèbres d'où je l'avais amené... Seule sans la moindre personne... Son désespoir.

Ses bras relâchaient doucement son étreinte, ses seins redescendirent quelque peu. Sa musique étant son vouloir. Elle fit un sursaut « hein ? » à cause de la voix d'Ayana. Sa musique à lui, constatant Akiza, c'était bel et bien sa voix qui inspirait la sécurité. Il n'y avait rien à faire, ses yeux étaient braqués sur celui-ci. Ses rêvasseries totalement déconnectée de la réalité. Ses bras tombèrent sur ses genoux, ensuite sur le sol de poussière et de cendres. Le jeune homme demandait demandait des ossements. Que voulait-il en faire ? De toute façon, sa ne la regardait pas, mais intéressant tout de même. De nature curieuse. La dernière phrase était encore plus bizarre, mais peut-être que cela pourrait être pratique. La jeune sorcière hocha la tête et se leva. Ensuite, la jeune femme se retourna pour enlever son corset. Après cela, Akiza dénuda ses épaules, elle enflamma ses mains, elle relâcha le haut de sa robe. Celle-ci s'embrasa complètement, sa silhouette sombre camouflée par les flammes. La jeune princesse ressorti ensuite avec sa robe-même de princesse. Ses yeux se tournèrent vers Ayana, avec un petit sourire.

- D'accord, je vais t'aider, mais à une condition. J'ai bien vue ton masque fait d'os. Tu semble d'être un habile artisan. Si tu pouvais faire quelque chose avec mon corset. Je te serai éternellement reconnaissante. En plus, j'aimerais bien avoir un souvenir de notre rencontre, hihi!

Le corset vola dans les airs jusqu'à la main du jeune homme. Elle en avait... plus besoin, enfin non je ne crois pas. Sa robe de princesse en dévoilait pratiquement autant. Au moins son costume dissimulait sa poitrine. Akiza se main à la recherche d'ossements de dragon défunt. Même si, étrangement, elle semblait savoir à quoi ça ressemblait... Nah, pas vraiment. Elle lui montrait quasi n'importe quoi. Que se soit un bout de branche mort d'une centaine d'année à un bout de plastique et même son propre tissue souillé de sang plutôt.