* Il est bientôt l'heure de reprendre ma Couronne, Akiza! Je suis sûre que je peux vous faire entrer, MOI! et ma royauté! * * Comme si j'allais y laisser ma place... ** Qui me revient de droit!* Alors donc elle ne voulait plus l'aider. Convaincu d'un dédoublement de personnalité. Photo du livre comparée à la sorcière, il y avait des ressemblance frappante, alors pourquoi disait-elle que ce n'était que l'oeuvre d'un artiste ? Sûrement pour se rassuré... Sûrement. Les elfes possédaient une intelligence qui transcendait celle de Kaguya et Akiza...
* Mais pas la mienne * D'autant plus, comment cette double personnalité pouvait être si sûre d'elle ? Alors que Kaguya, elle, semblait être désolée. Disant à la jeune et belle cosplayeuse qu'elle ne voulait pas que cette dernière meurt. Que celle-ci n'aurait plus de raison de vivre si cette jeune sorcière téméraire venait à disparaître. Le parc ; des images émergeaient dans la tête d'Akiza. Un film scénaristique jouait dans sa mémoire, alors que Kaguya venait de monter sur la jeune femme dont le sourire était devenu sournois, malicieux. Saisissant la poitrine de la lectrice, Kaguya descendit pour stimuler l'une des récentes zones sensibles d'Akiza. Yeux rouge et sclérotique rose, plaisir, plaisir, plaisir et extase.
* Tu n'es qu'une simple copie sombre de moi... ** K'té! Tu n'es qu'une infime partie de ma personnalité, qui représente l'empathie. * [color=#ff33ff] * Incertaine, la main d'Aki saisit le fragment de pierre qui servait de pendentif ( en se disant qu'elle devrait aussi le faire dans la réalité ) ses yeux affontèrent toujours son double *
* Un fragment d'Elysium ? Ah! N'importe quoi!* * Je te jure, Toi... * - Ah .. Yeux Magenta, sclérotique redevenu normal. Reprenant ses esprits, la lumière lui frappait au visage. La sorcière réalisa par la suite de sa transe qu'elle venait de jouir. Pouvait-elle crier au viole, comme ces victimes violées alors qu'elles sont complètement défoncées. En partie, c'était grâce à cette extase qu'elle avait reprit le contrôle de ses mouvements. Ce double semblait trop préoccupé pour injurier son hôte qu'elle n'avait pas fait attention à cette péripétie. Ce double se préoccupait seulement de son bonheur et sa gloire illusoire. Couchée sur le dos, Akiza n'avait aucun souvenir de comment elle s'était retrouvée ainsi, dans cette position. Ses joues rouge, elle était " venue " dans la bouche de Kaguya. Non... Elle ne pouvait pas crier au viole. Elle aussi, elle était en manque. En quelque sorte, un démon s'était éveillé en elle - ou plutôt une démone. Un côté d'elle insoupçonné ; alors qu'elle se repositionna et tendit la main sans trop faire attention à la flaque luisante sur la table.
Trop de risque, trop de risque, main dans celle de Kaguya, Akiza l'amena un peu plus loin. Cet acte pouvait aller jusqu'à la profanation, une insulte allant jusqu'au blasphème. Main dans la main, entre deux rangées, ses lèvres mi-humide rencontrèrent ceux de Kaguya. Ses joues toujours aussi d'un léger teint rouge kawai, ses yeux fermés, alors que ses mains se promenaient, non-chalands. Le baiser répondait à la sensualité des mains malicieuse de la cosplayeuse, qui elle, venait d'éveiller sa démone de luxure qui reposait en elle.
* Le Parc, le jour où je ne regretterais rien, le jour où j'ai décidée de vouloir être comme toi, Kaguya. * Cette pensée ne pouvait ne pas avoir sa place dans sa tête. Initiée par trop d'événements, Akiza avait développé une complicité mystique avec Kaguya. Appuyée contre l'une des rangées, un livre tomba sans trop faire de bruit. Un petit sourire complice suite au baiser. Les mains près du généreux décolleté de Kaguya, Akiza sorti les seins de sa partenaire, qui eux, se retrouvèrent nus, comme ceux de la jeune humaine qui furent découvert depuis la transe.
Caresse aux épaules, caresse aux seins, baiser, mordillement au cou, la sorcière était décidée à rendre le plaisir et l'extase que Kaguya lui avait offert plutôt, sur la table. Effectivement, cela excitait Akiza encore plus de faire dans un lieu strictement interdit où cela serait vu comme un grave insulte aux valeurs socioculturelles du royaume elfique. Un autre livre tomba. La seule et simple pensée qu'elles pouvaient être découvert à tout moment ajoutait un stresse excitant pour la jeune humaine de 18 ans. Un stresse excitant, un malaise des plus choquants ajoutaient une magie interdite à l'acte pratiqué par le couple. La main d'Aki saisit le sein droit de Kaguya, sans aucune surprise de sa part. Le baiser sensuel continuait de plus bel. Son autre main descendit, voyagea le long du corps chaud de la démone de luxure pour terminer son trajet jusqu'à la fesse droite de sa partenaire. Toujours aussi jalouse de la beauté incontestable de la démone, Akiza voulait lui montrer, qu'elle aussi, elle pouvait une " Bad Little Girl ", car oui, avec leur différence d'âge, Akiza était " Petite " même adulte et intelligente.
- Je vais te montrer... Susurre-t-elle sensuellement à l'oreille de la démone. Maintenant aux tour de la démone de se retrouver appuyée contre la rangée opposé, ce fut un peu plus féroce que doux et érotique. Trois livres tombèrent des étagères. Levant le bas de la robe de Kaguya, les iris d'Aki se rétractèrent, son sourire d'une malice incomparable, non, elle n'était pas possédée pas son double qui la hantait, elle était maintenant face à son but ultime. La cosplayeuse était seulement possédée par le désire qu'elle éprouvait pour Kaguya. Enlevant la culotte de celle-ci, sourire malsain, brûla la culotte de la démone. Voyant et contemplant son objectif, caressant les jambes de celle-ci, sans se soucier de futurs arrivants, le plus vite commencé ; plus rapidement terminé, se disait-elle.
Rien de subtile, la sorcière s'approcha de l'intimité de Kaguya. Petit odeur fine et excitante de la part de Kaguya pour sa partenaire. Encore plus proche, encore un peu plus pour ensuite laisser la rencontre inéluctable entre les lèvres de la sorcière et les lèvres interdites du vagin de Kaguya. Doucement, sensuellement, l'intimité de Kaguya avait déjà répondu aux avances de la jeune femme, alors que sa langue entra finalement dans l'antre de la démone, l'intimité répondit à nouveau. Substance luisante coulant entre les cuisses de sa partenaire démoniaque. La langue de lectrice mouvait de manière assez aléatoire pour trouver un point sensible. Comme une fouille archéologique, L'apprentie sorcière tira sa langue pour atteindre un paroxysme, et, pour ensuite atteindre une porte qui semblait être verrouillé, la porte pour enfanté. Bien sûr, Akiza connaissait l'anatomie de l'intimité d'une femme et su que sa langue ne pouvait aller plus loin, le col était sa destination finale. Elle continua encore et encore jusqu'au moment, comme elle-même plus tôt, jouisse. Dans la bouche d'Akiza.
Et le rapport avec l'infiltration et le château? Il y en a pas, Akiza rend toujours l'ascenseur. Si au moins cette baise peut leur donner une idée à ces deux femmes qui ne pensent pas aux conséquences.
Souriant, Il finit ajouta suite à ve manège:
- Je crois qu'il faudrait y aller. Je crois qu'on a été assez mauvaise fille Ricanement.